Énergie Hydraulique

Résumé
Équiper une chute d’eau avec une roue pour produire de l’électricité, c’est toujours bon à prendre.
J’ai apprécié ma modeste participation à cette expérimentation.

Une société fabriquait et livrait des roues à aubes (roues à augets) de 2,50 mètres à 4 mètres en inox et aluminium. En option, un habillage bois redonnait à un moulin classé son visuel d’époque, avec la durabilité du métal.Une passe à poissons en kit était en développement. L’équipe pouvait aussi produire l’étude de site et l’installation complète, et même assister la constitution des dossiers de demande d’autorisation.

L’usine de fabrication (en Côte d’Or) est très impressionnante à la fois par le personnel, par les machines outils, découpe au laser, plieuses, postes de soudure…

A l’époque où l’énergie nucléaire interroge mais où la démographie progresse, ces sources autonomes d’électricité devraient se multiplier au fil des années. Ce développement sera lent, comme la réalisation d’un tricot. Si on avance lentement mais sans relâche, on transforme un pays en 10 à 20 ans. La décentralisation partielle de la production est une chance pour tous.

Dans le cadre de la transition énergétique, un opérateur doit proposer une trame de partage des sources décentralisées.

L’eau est puissante. Son évaporation est aidée par le soleil, la chaleur et le vent. On l’exploite par gravitation, en énergie potentielle mais aussi cinétique.

Il faudra encourager de telles installations sur les cours d’eau, les écluses. Mais…

LES MARÉES – Si un réchauffement général se poursuit, certains cours d’eau seront à sec l’été. En effet, les pluies d’hiver en altitude étaient stockées en neige et glace qui fondaient à la saison chaude, assurant un débit même en l’absence de pluie.
Il faut donc anticiper et réfléchir à une multiplication des centrales électriques exploitant les marées (merci la Lune).

VITE, CONSTRUISONS DES CENTRALES MARÉE-MOTRICES.